- EAN13
- 9791031002408
- Éditeur
- Les presses littéraires
- Date de publication
- 07/01/2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Un petit village perdu dans les montagnes du Canigou. La vieille communauté de
paysans s’éteint peu à peu sous le regard du vieil oncle Michel del Freixe, le
narrateur. Défile une galerie de personnages singuliers, émouvants,
pittoresques. L’oncle se remémore par bribes des épisodes de la vie du village
: tantôt plaisants ou drôles, tantôt tragiques.
Les Terres oubliées fait renaître un fragment de cette humanité paysanne
disparue avec l’arrivée du Progrès et l’exil des jeunes vers les villes. Le
roman ravive les modes de vie et les traditions de ce monde : les grands repas
de famille, le lever de table les jours de fête, la veillée des morts, la
chasse vers les cimes… Mais aussi la lutte constante et acharnée pour vivre de
cette terre à laquelle les paysans étaient si attachés.
Le roman est un hymne vibrant à la montagne. Une émotion contenue, parfois
même intense, se dégage du récit, véritable requiem en hommage à ces paysans
tombés dans l’oubli.
L’auteur est leur voix : il dit la beauté sidérante des paysages, le tragique
des jours ordinaires, la fuite irréparable du temps et le deuil sans cris,
sans larmes.
paysans s’éteint peu à peu sous le regard du vieil oncle Michel del Freixe, le
narrateur. Défile une galerie de personnages singuliers, émouvants,
pittoresques. L’oncle se remémore par bribes des épisodes de la vie du village
: tantôt plaisants ou drôles, tantôt tragiques.
Les Terres oubliées fait renaître un fragment de cette humanité paysanne
disparue avec l’arrivée du Progrès et l’exil des jeunes vers les villes. Le
roman ravive les modes de vie et les traditions de ce monde : les grands repas
de famille, le lever de table les jours de fête, la veillée des morts, la
chasse vers les cimes… Mais aussi la lutte constante et acharnée pour vivre de
cette terre à laquelle les paysans étaient si attachés.
Le roman est un hymne vibrant à la montagne. Une émotion contenue, parfois
même intense, se dégage du récit, véritable requiem en hommage à ces paysans
tombés dans l’oubli.
L’auteur est leur voix : il dit la beauté sidérante des paysages, le tragique
des jours ordinaires, la fuite irréparable du temps et le deuil sans cris,
sans larmes.
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