- EAN13
- 9782924941744
- Éditeur
- Performance Édition
- Date de publication
- 24/02/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L’oncologue parle depuis plusieurs minutes. Ses explications abondent, mais je
n’en retiens que des bribes : dose-densité, stade, adjuvant, ganglions,
carcinome, infiltrant… Puis il veut savoir si j’ai des questions. J’en ai une
: La pratique de la course à pied est-elle contre-indiquée pendant les
traitements de chimiothérapie? Pris de court, l’oncologue reste silencieux
quelques secondes. Il finit par me confirmer qu’il n’y a aucun inconvénient à
courir pendant les traitements. Je peux courir tant que je veux. Cependant, il
me prévient : J’en serai incapable, car je n’aurai pas assez de souffle pour
courir. De sa réponse, je ne retiens que l’absence de contre-indications à
courir pendant la chimio. Dès lors, ma décision est prise : Je vais courir au
temps du cancer. Pour ce qui est du souffle, je découvrirai que l’oncologue
avait raison. Même si j’ai couru au-delà de 300 kilomètres pendant mes
traitements, il m’a fallu beaucoup d’efforts et de persévérance pour y
parvenir. C’était comme de monter continuellement des côtes face au vent.
Ainsi nous parle l’auteure dans ce livre débordant de courage et d’espoir,
alors qu’elle était traitée pour un cancer du sein. Sa détermination à
pratiquer la course à pied a fait toute la différence au moment de ses
traitements. Aujourd’hui, la course à pied constitue pour elle un mode de vie
qui frôle parfois la folie.
n’en retiens que des bribes : dose-densité, stade, adjuvant, ganglions,
carcinome, infiltrant… Puis il veut savoir si j’ai des questions. J’en ai une
: La pratique de la course à pied est-elle contre-indiquée pendant les
traitements de chimiothérapie? Pris de court, l’oncologue reste silencieux
quelques secondes. Il finit par me confirmer qu’il n’y a aucun inconvénient à
courir pendant les traitements. Je peux courir tant que je veux. Cependant, il
me prévient : J’en serai incapable, car je n’aurai pas assez de souffle pour
courir. De sa réponse, je ne retiens que l’absence de contre-indications à
courir pendant la chimio. Dès lors, ma décision est prise : Je vais courir au
temps du cancer. Pour ce qui est du souffle, je découvrirai que l’oncologue
avait raison. Même si j’ai couru au-delà de 300 kilomètres pendant mes
traitements, il m’a fallu beaucoup d’efforts et de persévérance pour y
parvenir. C’était comme de monter continuellement des côtes face au vent.
Ainsi nous parle l’auteure dans ce livre débordant de courage et d’espoir,
alors qu’elle était traitée pour un cancer du sein. Sa détermination à
pratiquer la course à pied a fait toute la différence au moment de ses
traitements. Aujourd’hui, la course à pied constitue pour elle un mode de vie
qui frôle parfois la folie.
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