- EAN13
- 9782709639897
- Éditeur
- Jean-Claude Lattès
- Date de publication
- 04/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - JC Lattès 16,00
Alger, 24 décembre 1994, 10h30. L'Airbus d'Air France s'apprête à décoller
pour Paris. Quatre hommes font alors interruption, armés de pistollets-
mitrailleurs : "Nous sommes des moudjahidin !"
Commence, en cette vieille de Noël, une prise d'otages qui va tenir en haleine
le monde entier. Les terroristes abattent un passager. Deux autres seront par
la suite exécutés. Seul le sang froid du personnel de cabine finira par les
désorienter. Aujourd'hui, l'une des hôtesses, Claude Bertaud, raconte ce huis
clos infernal. Sans oublier ses propres peurs, elle dit son combat pour sauver
les passagers, les relations tissées au fil de ces cinquante-qutre heures
entre eux et les membres du commando. Les obligations pour les femmes de se
couvrir la tête. La faim, la soif. Le chantage récurrent des terroristes,
leurs accès de fanatisme religieux, leur crainte des Ninjas. Puis,l'appareil
ayant enfin atterri à Marseille, leur fatalisme devant la mort lors de
l'attaque exempplaire du G.I.G.N. Un récit vécu ou la terreur le dispute à la
générosité, et l'angoisse à l'émotion.
pour Paris. Quatre hommes font alors interruption, armés de pistollets-
mitrailleurs : "Nous sommes des moudjahidin !"
Commence, en cette vieille de Noël, une prise d'otages qui va tenir en haleine
le monde entier. Les terroristes abattent un passager. Deux autres seront par
la suite exécutés. Seul le sang froid du personnel de cabine finira par les
désorienter. Aujourd'hui, l'une des hôtesses, Claude Bertaud, raconte ce huis
clos infernal. Sans oublier ses propres peurs, elle dit son combat pour sauver
les passagers, les relations tissées au fil de ces cinquante-qutre heures
entre eux et les membres du commando. Les obligations pour les femmes de se
couvrir la tête. La faim, la soif. Le chantage récurrent des terroristes,
leurs accès de fanatisme religieux, leur crainte des Ninjas. Puis,l'appareil
ayant enfin atterri à Marseille, leur fatalisme devant la mort lors de
l'attaque exempplaire du G.I.G.N. Un récit vécu ou la terreur le dispute à la
générosité, et l'angoisse à l'émotion.
S'identifier pour envoyer des commentaires.