- EAN13
- 9782600363372
- Éditeur
- Droz
- Date de publication
- 11/05/2022
- Collection
- Travaux d'Humanisme et Renaissance
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Tableau de l'inconstance des mauvais anges et demons
Édition de 1613
Pierre de Lancre
Droz
Travaux d'Humanisme et Renaissance
Autre version disponible
-
Papier - Droz 75,00
Le magistrat du parlement de Bordeaux Pierre de Lancre reçut du roi Henri IV
mission d’enquêter sur les rumeurs de sorcellerie qui secouaient la petite
contrée du Labourd en pays basque. Pendant quatre mois, investi d’une autorité
souveraine, il travaille activement à instruire et à juger. De cette rare
expérience, Pierre de Lancre publie la recension quelques années plus tard.
Son Tableau de l’inconstance des mauvais anges et demons fut certainement un
ouvrage remarqué : publié en 1612, il fit, sans attendre la fin du privilège
de six ans, l’objet d’une réédition revue et augmentée dès 1613.
Cette nouvelle édition multiplie les additions. Si l’auteur maintient presque
inchangées ses références érudites, il approfondit en revanche l’exégèse de sa
rare expérience de démonologue, avec le sentiment d’enrichir ainsi cette
nécessaire contribution à la connaissance du diable et de ses menées. On croit
utile de signaler ces additions à leur place : De Lancre, en serviteur dévoué
de l’État, élabore une démonologie concrète fondée sur une vaste et difficile
érudition dont l’index fait voir l’ampleur.
mission d’enquêter sur les rumeurs de sorcellerie qui secouaient la petite
contrée du Labourd en pays basque. Pendant quatre mois, investi d’une autorité
souveraine, il travaille activement à instruire et à juger. De cette rare
expérience, Pierre de Lancre publie la recension quelques années plus tard.
Son Tableau de l’inconstance des mauvais anges et demons fut certainement un
ouvrage remarqué : publié en 1612, il fit, sans attendre la fin du privilège
de six ans, l’objet d’une réédition revue et augmentée dès 1613.
Cette nouvelle édition multiplie les additions. Si l’auteur maintient presque
inchangées ses références érudites, il approfondit en revanche l’exégèse de sa
rare expérience de démonologue, avec le sentiment d’enrichir ainsi cette
nécessaire contribution à la connaissance du diable et de ses menées. On croit
utile de signaler ces additions à leur place : De Lancre, en serviteur dévoué
de l’État, élabore une démonologie concrète fondée sur une vaste et difficile
érudition dont l’index fait voir l’ampleur.
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