- EAN13
- 9782213724713
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 11/01/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 21,90
La réélection de François Stolon, jeune président de la République française,
devait être une formalité…
Le système semblait avoir désigné le vainqueur quand un tragique accident de
vélo vient gripper des machineries bien huilées.Chaque journée, chaque week-
end, chaque semaine défilent au rythme des crises permanentes, des annonces de
campagne, des demandes pressantes des journalistes. Seuls quelques juges
évoluent dans un monde parallèle et continuent à dérouler leurs propres
agendas.
Esthétique de la trahison nous plonge dans l’intimité des femmes et des hommes
de pouvoir comme si micros et caméras y avaient été dissimulés : du palais de
l’Élysée aux plateaux de télévision, des bancs de l’université à ceux de
l’Assemblée nationale, des QG de campagne à la propriété d’un milliardaire,
des sièges d’un taxi à ceux des limousines officielles, d’un ministère au
cabinet d’un juge d’instruction.
Dans ce roman captivant, nulle vérité ou post-vérité. Le lecteur décidera si
un personnage a trahi ou s’il est resté fidèle à luimême. C’est une question
de point de vue ; celui du lecteur n’est pas celui du militant, celui du
journaliste n’est pas celui du juge et encore moins celui de l’écrivain.
Stéphane Juvigny conseille des politiques et des entreprises. Il a notamment
exercé en cabinets ministériels. Esthétique de la trahison est son premier
roman.
devait être une formalité…
Le système semblait avoir désigné le vainqueur quand un tragique accident de
vélo vient gripper des machineries bien huilées.Chaque journée, chaque week-
end, chaque semaine défilent au rythme des crises permanentes, des annonces de
campagne, des demandes pressantes des journalistes. Seuls quelques juges
évoluent dans un monde parallèle et continuent à dérouler leurs propres
agendas.
Esthétique de la trahison nous plonge dans l’intimité des femmes et des hommes
de pouvoir comme si micros et caméras y avaient été dissimulés : du palais de
l’Élysée aux plateaux de télévision, des bancs de l’université à ceux de
l’Assemblée nationale, des QG de campagne à la propriété d’un milliardaire,
des sièges d’un taxi à ceux des limousines officielles, d’un ministère au
cabinet d’un juge d’instruction.
Dans ce roman captivant, nulle vérité ou post-vérité. Le lecteur décidera si
un personnage a trahi ou s’il est resté fidèle à luimême. C’est une question
de point de vue ; celui du lecteur n’est pas celui du militant, celui du
journaliste n’est pas celui du juge et encore moins celui de l’écrivain.
Stéphane Juvigny conseille des politiques et des entreprises. Il a notamment
exercé en cabinets ministériels. Esthétique de la trahison est son premier
roman.
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