- EAN13
- 9782140185502
- Éditeur
- Éditions L'Harmattan
- Date de publication
- 13/07/2021
- Collection
- Espaces et Temps du Sport
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 28,00
De la bataille de marathon aux derniers Jeux Olympiques, de Phidippides à
Eliud Kipchoge, ce livre nous raconte le long cheminement de cette course
mythique. Le Français Michel Bréal était loin de s'imaginer l'engouement
qu'allait susciter cette épreuve lorsqu'il proposa à Pierre de Coubertin de
l'inclure au programme olympique des premiers Jeux en 1896, à Athènes. Repaire
des « fous », puis des athlètes de deuxième zone, le marathon, dénommé dans un
premier temps comme « la course qui tue », s'est démocratisé dans les années
1970 pour entrer tranquillement, mais sûrement, dans l'esprit populaire. Cette
évolution vers un phénomène de masse a forcément conduit vers le
mercantilisme, le dopage et quelques autres maux du monde moderne. Là où au
début du siècle ils n'étaient que quelques dizaines de défricheurs à prendre
la route, ils sont aujourd'hui des centaines de milliers à se prouver qu'ils
peuvent vaincre les 42,195 km de la course et dire : « Je suis un marathonien
».
Eliud Kipchoge, ce livre nous raconte le long cheminement de cette course
mythique. Le Français Michel Bréal était loin de s'imaginer l'engouement
qu'allait susciter cette épreuve lorsqu'il proposa à Pierre de Coubertin de
l'inclure au programme olympique des premiers Jeux en 1896, à Athènes. Repaire
des « fous », puis des athlètes de deuxième zone, le marathon, dénommé dans un
premier temps comme « la course qui tue », s'est démocratisé dans les années
1970 pour entrer tranquillement, mais sûrement, dans l'esprit populaire. Cette
évolution vers un phénomène de masse a forcément conduit vers le
mercantilisme, le dopage et quelques autres maux du monde moderne. Là où au
début du siècle ils n'étaient que quelques dizaines de défricheurs à prendre
la route, ils sont aujourd'hui des centaines de milliers à se prouver qu'ils
peuvent vaincre les 42,195 km de la course et dire : « Je suis un marathonien
».
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