- EAN13
- 9782850712524
- ISBN
- 978-2-85071-252-4
- Éditeur
- Cent mille milliards
- Date de publication
- 15/05/2023
- Collection
- CMM.ESSAIS
- Nombre de pages
- 202
- Dimensions
- 20,3 x 13,3 cm
- Poids
- 237 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Ciment est un livre sur ce qui nous lie les uns aux autres.
L’histoire est celle de Gilles, fils et petit-fils d’ingénieurs à la cimenterie
d’Audaincourt. Gilles au destin tout tracé, sauf que... D’accident en grèves puis en fermeture, la cimenterie s’arrête. Gilles est enfant, adolescent, adulte. De ceux qui l’entourent, Pavel, Mady, Pompon, le coq, Virginie, Michel, Daniel, Jeannie : qui s’en tirera ? Ici, les « bons » comme les « méchants » sont faillibles comme nous, et victimes comme nous de ces étiquettes qu’on colle sur notre front quand on est encore enfant, et qu’il est si difficile de décoller.
Certaines scènes de Ciment font écho à nos propres trajectoires chaotiques, maladroites, courageuses, tendues vers ce qu’on appelle le bonheur.
Nous le savons bien, dès le départ la vie nous sépare entre faibles et forts (indifférents, la plupart du temps) (mais c’est justement ça, qui touche encore plus). Ciment nous emmène dans le Nord, venteux, gris, lumineux, suivre Gilles, entre ses copains, ses voisins, ses parents qui se débattent eux-mêmes avec leur existence, déjà tranchée elle aussi par la cimenterie de leur ville. Avec son troisième roman, Marianne Maury Kaufmann nous prend doucement par la main et par le cœur pour suivre des personnages attachants malgré leurs défauts, leurs maladresses, leurs illusions se démener avec leur destin.
Son écriture fine, sobre, précise, sensible, narre à voix basse des confidences précieuses qui donnent toute leur saveur et toute leur mélancolie à nos existences : nos liens avec notre passé nous font défaut, et c’est en lisant Ciment, autant que Saki et L’insupportable Bassington, que nous saurons renouer avec notre identité...
L’histoire est celle de Gilles, fils et petit-fils d’ingénieurs à la cimenterie
d’Audaincourt. Gilles au destin tout tracé, sauf que... D’accident en grèves puis en fermeture, la cimenterie s’arrête. Gilles est enfant, adolescent, adulte. De ceux qui l’entourent, Pavel, Mady, Pompon, le coq, Virginie, Michel, Daniel, Jeannie : qui s’en tirera ? Ici, les « bons » comme les « méchants » sont faillibles comme nous, et victimes comme nous de ces étiquettes qu’on colle sur notre front quand on est encore enfant, et qu’il est si difficile de décoller.
Certaines scènes de Ciment font écho à nos propres trajectoires chaotiques, maladroites, courageuses, tendues vers ce qu’on appelle le bonheur.
Nous le savons bien, dès le départ la vie nous sépare entre faibles et forts (indifférents, la plupart du temps) (mais c’est justement ça, qui touche encore plus). Ciment nous emmène dans le Nord, venteux, gris, lumineux, suivre Gilles, entre ses copains, ses voisins, ses parents qui se débattent eux-mêmes avec leur existence, déjà tranchée elle aussi par la cimenterie de leur ville. Avec son troisième roman, Marianne Maury Kaufmann nous prend doucement par la main et par le cœur pour suivre des personnages attachants malgré leurs défauts, leurs maladresses, leurs illusions se démener avec leur destin.
Son écriture fine, sobre, précise, sensible, narre à voix basse des confidences précieuses qui donnent toute leur saveur et toute leur mélancolie à nos existences : nos liens avec notre passé nous font défaut, et c’est en lisant Ciment, autant que Saki et L’insupportable Bassington, que nous saurons renouer avec notre identité...
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