- EAN13
- 9782253073406
- ISBN
- 978-2-253-07340-6
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 02/11/2017
- Collection
- Littérature & Documents (LP 034862)
- Nombre de pages
- 224
- Dimensions
- 18,6 x 12 x 1,8 cm
- Poids
- 210 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
-
9.90
Cette édition collector réunit les textes qu'Eric-Emmanuel Schmitt a consacré à son rapport aux musiciens classiques : Ma vie avec Mozart et Quand je pense que Beethoven est mort alors que tant de crétins vivent… ainsi qu’un inédit conçu pour l’Opéra de Paris : Le Mystère Bizet.
Une édition collector avec une couverture cartonnée rigide, pour en faire un bel objet. Un contenu musical intégré, pour accompagner la lecture du livre.
« Dans mon chemin de sagesse, je dois autant aux musiciens qu’aux philosophes. Mieux, je les considère comme des “philosophes sans mots”, forts, péremptoires, capables d’inspirer spontanément nos pensées, de modifier nos frontières mentales, d’ouvrir des perspectives, de nous initier à des idées nouvelles.
Là réside la singularité de mes écrits sur la musique. Je n’interviens ni en musicologue – il y en a des dizaines bien meilleurs que moi – ni en historien, je narre les secousses spirituelles provoquées par la musique au cours d’une existence. Je formule ce qu’elle nous souffle.
Finalement, si je ne laisse aucune partition sur terre, j’aurai quand même composé un chant, constitué de mots et de phrases : un chant de remerciement aux musiciens. »
Une édition collector avec une couverture cartonnée rigide, pour en faire un bel objet. Un contenu musical intégré, pour accompagner la lecture du livre.
« Dans mon chemin de sagesse, je dois autant aux musiciens qu’aux philosophes. Mieux, je les considère comme des “philosophes sans mots”, forts, péremptoires, capables d’inspirer spontanément nos pensées, de modifier nos frontières mentales, d’ouvrir des perspectives, de nous initier à des idées nouvelles.
Là réside la singularité de mes écrits sur la musique. Je n’interviens ni en musicologue – il y en a des dizaines bien meilleurs que moi – ni en historien, je narre les secousses spirituelles provoquées par la musique au cours d’une existence. Je formule ce qu’elle nous souffle.
Finalement, si je ne laisse aucune partition sur terre, j’aurai quand même composé un chant, constitué de mots et de phrases : un chant de remerciement aux musiciens. »
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