- EAN13
- 9782226378101
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 05/2016
- Collection
- Journal intime de Jacques Chirac 97-98
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Journal intime de Jacques Chirac - tome 4
Le suicide - Juillet 1997 - mai 1998
Christine Clerc
Albin Michel
Journal intime de Jacques Chirac 97-98
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 18,60
Une droite qui a succombé à la crise de nerfs. Un président de la République
qui ne décolère pas contre les « nains politiques » qui dirigent l'UDF et le
RPR. La haine palpable qui oppose Jean-Marie Le Pen à Jacques Chirac. Dans
cette course au suicide, débutée il y a un an avec la dissolution de
l'Assemblée nationale et accélérée par les propositions d'alliance lancées par
le Front National lors des élections régionales, le chef de l'Etat tente
désespérément de survivre.
« Je ne me laisserai pas étrangler dans une des sombres coursives de l'Elysée,
écrit-il grâce à la plume mordante de Christine Clerc. Je les sens tous rôder,
qui avec sa dague, qui avec sa fiole, qui avec sa cordelette, mais je n'ai
rien de l'agneau mené au sacrifice. Ma mission n'est pas achevée. »
Christine Clerc, en se glissant une nouvelle fois dans la peau du président de
la République, rend compte, sans complaisance, d'un monde ubuesque, soudain
saisi d'une forme de folie et attaché, semble-t-il, à sa seule perte.
qui ne décolère pas contre les « nains politiques » qui dirigent l'UDF et le
RPR. La haine palpable qui oppose Jean-Marie Le Pen à Jacques Chirac. Dans
cette course au suicide, débutée il y a un an avec la dissolution de
l'Assemblée nationale et accélérée par les propositions d'alliance lancées par
le Front National lors des élections régionales, le chef de l'Etat tente
désespérément de survivre.
« Je ne me laisserai pas étrangler dans une des sombres coursives de l'Elysée,
écrit-il grâce à la plume mordante de Christine Clerc. Je les sens tous rôder,
qui avec sa dague, qui avec sa fiole, qui avec sa cordelette, mais je n'ai
rien de l'agneau mené au sacrifice. Ma mission n'est pas achevée. »
Christine Clerc, en se glissant une nouvelle fois dans la peau du président de
la République, rend compte, sans complaisance, d'un monde ubuesque, soudain
saisi d'une forme de folie et attaché, semble-t-il, à sa seule perte.
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